Adolicences

Il y a trop de choses à dire sur les garçons ! mais on va commencer par ça, et on continuera, plus tard. Un garçon, même quand il est enfant, c'est déjà un garçon. Ça se voit tout de suite qu'il est un garçon ! même si son zizi est tout petit... Il fait rien pareil. Les gestes, ce qu'il dit. Il est brusque, facilement brutal. Il peut te faire mal, et ça peut le faire rire – ou alors, il s'en fout. Il veut s'imposer parmi les autres, les autres petits mâles, montrer qu'il est fort, voire le plus fort ! Et ça arrive qu'il le soit, le plus fort, et là, il est très heureux ; même si c'est normal (pour lui) et tant pis si l'autre pleure. Malheur aux vaincus. Moi, c'est sûr que j'ai envie d'aller le consoler, le perdant, de lui redonner le moral, de le faire sourire, et que ce soit pour moi, ce sourire... Et puis, d'un autre côté, j'ai aussi envie de me jeter aux pieds du vainqueur ! celui qui peut piétiner mon cœur palpitant pour lu...

Ça fait un mois que je n'ai rien publié... C'était dû à un blocage. Laisse tomber « le syndrome de la page blanche... », je suis pas concerné parce que j'ai qu'à me mettre sur mon PC et le clavier marche tout seul. Non, c'est mon récit « le Roux et le Noir » qui en était arrivé au climax d'une scène de sexe. Primo, c'est pas du tout facile à écrire pour que ça reste de la littérature mais que ça soit quand même sensuel et que ça dise ce que ça a à dire ! Et le problème est là : qu'est-ce qu'il faut en dire ? Jusqu'où aller ? Une ellipse, c'est frustrant et ridicule, mais trop de détails peuvent rebuter ou tuer l'imaginaire du lecteur, alors que c'est cet imaginaire que je vise pour toucher le dit-lecteur. Et puis, il y a le fait que je raconte un peu (beaucoup) un épisode ma vie là-dedans... C'est comme si je mettais en ligne une sex tape où je suis dedans – enfin, là, c'est un autre qui est dedans ! (dedans moi). C...